Couvent Ain Warka-Ghosta

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Le couvent Ain Warka :

  • L’oeuvre sociale de la Jeune Fille du Liban à Ain Warka reçoit des étudiantes internes (classes primaires, complémentaires et techniques) dont la majorité se trouve en situation sociale difficile. Leur prise en charge se fait avec la contribution du ministère des affaires sociales.
  • L’institution sociale de la Jeune Fille du Liban : Elle accueille des personnes ayant un handicap mental léger.
  • L’atelier : Dans l’atelier, on confectionne les vêtements et les accessoires liturgiques.
  • La maison de Noviciat
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Aperçu historique

Ain Warka qui a été construite sur « les os des Saints », comme le raconte notre Père Emile et ses prédécesseurs, est une église et un couvent de St Antoine le Grand, inaugurés par le Patriarche Estéphan DOUEIHY, le jour de la fête de la Croix, le 14 septembre 1798.

Après moins de cent ans, c’est-à-dire en 1889, le couvent a été transformé en école, selon la volonté du Patriarche Youssef ESTEPHAN. Cette école a été nommée par l’un de ses gradués, Monseigneur Jean HABIB «la mère des écoles du Liban et de la Syrie ». Cette dernière a gradué quatre patriarches, plus de vingt Evêques et trois cent prêtres, ainsi que des laïcs génis qui ont joué un rôle primordial dans la civilisation libanaise et arabe et dans leur évolution intellectuelle et scientifique.

L’école de Ain Warka, qui a une grande réputation, se situe dans la vallée de Ghosta, un village de Kesrouan, qui tend ses mains vers la mer, et soulève sa tête vers les monts du Liban rejoignant la lumière !
A cette école, est entré le jeune homme Emile GEARA en 1945, et de laquelle il est sorti un prêtre en 1952, portant son pain pour l’offrir à tous ceux qui en ont besoin. Et en cette année même, l’école ecclésiastique de Ain Warka a été fermée.

Mais Père Emile a voulu qu’Ain Warka soit le point de départ du projet que Dieu lui a confié. Il dit « J’ai une grande confiance en Dieu et en ses paroles ».
Ainsi… il a demandé au Patriarche Paul-Pierre MAOUCHY qu’Ain Warka soit le point de départ de l’œuvre sociale de la Jeune Fille du Liban. Sa demande a été exaucée. Le travail a commencé alors à Ain Warka qui a ouvert ses portes de nouveau en l’an 1956-1957.

Mr Abbas FARHAT, responsable au ministère des affaires sociales, a noté dans son rapport après la visite de l’institution le 20 mars 1957, ce qui suit : «la bonne intention des préparations dont fait preuve la direction de l’institution, ainsi que l’immense enthousiasme, ont formé le facteur le plus essentiel dans la fondation et l’équipement de l’institution et une base tenace qui assure sa réussite dans le futur, avec une grande disposition à collaborer avec le ministère et l’application des programmes sociaux et les directives données. Tout cela nous pousse à espérer la réussite absolue de l’institution ».

Avec le début des actions à l’institution, Père Emile planifiait encore. Et grâce à une inspiration du Saint Esprit, il décide de fonder la congrégation des Sœurs Missionnaires du Très Saint Sacrement. Il expose son projet au Patriarche MAOUCHY qui lui a exaucé sa demande en 1965.

La congrégation a été fondée le 14 septembre 1966. Il y avait alors huit novices. Et le 3 octobre 1968, Monseigneur Nasrallah SFEIR a accepté les premiers vœux apostoliques que les novices ont présentés.

Ain Warka-Ghosta

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